Le projet international

Bonjour,

A l’heure d’aujourd’hui, dans un contexte de mondialisation, toute entreprise qui veut réussir se doit de développer dès le début sa vision à l’international. Chez nous, en Belgique ce n’est pas nouveau, nous sommes un petit pays qui vit avant tout de son exportation. Nous comptons des myriades de PME qui, pour se positionner et survivre n’ont d’autres solutions que de pratiquer l’innovation et l’excellence au plan international.

Je vous présente donc une cogitation effectuée sans prétention en m’inspirant de notre documentation TOP PARTNER® et plus précisément de TOP PARTNER ® International qui assiste et accompagne les entreprises européennes en Europe de l’Est, en Afrique, en Asie et en Russie. Cette cartographie pourra sans doute vous inspirer pour votre propre projet, elle n’a toutefois pas la prétention d’être une référence en la matière et ne demande qu’à s’améliorer.

Une fois définie la vision, ce que l’on veut devenir sur un certain segment d’activités et que l’on a identifié les Facteurs Critiques de Succès, et les valeurs d’entreprise. On veille à se développer suivant 3 lignes de développement (LoD) : Configurer le projet, créer un environnement propice à la réussite et produire la valeur ajoutée.

Dans le premier axe, comme pour tout développement d’organisation, revoir la vision au travers d’une analyse PESTE. Fort de cette analyse, effectuer un diagnostic à l’exportation et une analyse financière et stratégique, le tout assurant la réussite des investissements liés au projet.
Une fois cette phase de configuration terminée, les risques sont identifiés et la stratégie est précisée, on peut commencer à réellement mettre le projet en chantier : développer des réseaux, assurer la logistique du projet, prospecter pour des fournisseurs fiables, pratiquer un marketing proactif.

Dans la phase de production, il faut utiliser les réseaux pour développer et exploiter au mieux l’Intelligence Economique. Les acteurs du management doivent, pour mener à bien les opérations commerciales (la production de la valeur ajoutée, en fait) maîtriser les aspects interculturels liés aux pays concernés, ceci s’acquiert, entre autres choses par les expéditions d’étude et la sensibilisation des acteurs.

Enfin, mentionnons les fondements, les références et les outils du pilotage : L’éthique et les valeurs d’entreprise, la stratégie internationale les outils et processus de pilotage (piloter et superviser).

Guy GRANDCHAMPS
TOP PARTNER Management®
Affiliate senior consultant
Délégué National Belgique
guy.grandchamps@top-partner.com